Pour moi, dans la justice, je verrai ta face; Dès le réveil, je me rassasierai de ton image. Psaume 17.15
Auteur : Wesley Penner
Réflections d’un soldat de Dieu
Pendant son séjour à Tsiklag, beaucoup d’hommes forts sont venus entourer David. Ils étaient venus afin de transférer la royauté de Saül à David. J’ai trouvé inspirants les commentaires sur les soldats.
1Ch 12.8 « Parmi les Gadites, des hommes vaillants partirent pour se rendre auprès de David dans la forteresse du désert, des soldats exerces a la guerre, armes du bouclier et de la lance, semblables a des lions, et aussi prompts que des gazelles sur les montagnes. » C’est vrai qu’un soldat doit être prompt et rapide. Pourquoi attendrais-je quand Dieu me demande de faire sa volonté ?
1Ch 12.14 « C’étaient des fils de Gad, chefs de l’armée; un seul, le plus petit, pouvait s’attaquer a cent hommes, et le plus grand a mille. » Suis-je capable d’être victorieux même quand je me sens accablé des tentations ? Cela me fait penser à une promesse que Dieux nous a donné : 1Cor 10.13 « Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter. »
1Ch 12.32 « Des fils d’Issacar, ayant l’intelligence des temps pour savoir ce que devait faire Israël, deux cents chefs, et tous leurs frères sous leurs ordres. » Ai-je une bonne connaissance de la Parole et comment cela s’applique de nos jours? Ces hommes étaient capables avec l’aide de Dieu. Moi, j’ai le même Dieu qu’ils avaient.
Bon courage à tous !
La victoire en Jésus-Christ
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!
1 Corinthiens 15:57 NEG79
Si seulement on terminera tous nos histoires tristes, tous les contes de nos problèmes par cette phrase puissante…
Dieu est grand
Dieu est grand, mais sa grandeur nous échappe
Job 36:26 NEG79
Ne parlez point mal
Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. Jacques 4.11
Ce verset m’a parlé ce matin. Combien de fois est-ce que je juge mon frère dans mes pensées? Je te fait remarquer aussi qu’à la fin du verset il dit « Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. » Dieu nous a demandé de pratiqué ses commandements, et non en être le juge.
C’était trop court
Nous sommes allés à l’église ce matin. C’est la première fois que nous sommes allés le dimanche matin depuis deux mois. Ici au Québec nous avons le droit d’avoir 25 personnes à l’église. Nous comptons autour de 100 personnes dans l’assemblée en tout et nous faisons le culte le dimanche matin et le soir. Ce qui veut dire que nous allons à l’église une fois aux quinzaines. Bien sûr, nous pouvons écouter par internet toutes les fois, mais ce n’est pas le même que d’être assis parmi nos frères et sœurs avec la Parole que descend sur nous comme de la rosée.
Aujourd’hui, la parole que nous avons entendu à l’église se portait sur la simple vérité de la Parole de Dieu. Genèse 1.1 a été lu. « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. » Même cette simple vérité est mise en question par beaucoup de nos jours. Les hommes ont écrit des tas de livres pour expliquer comment le monde est venu à l’existence, mais la Parole de Dieu le dit avec quelques mots simples. La Bible n’est pas compliquée.
Après le culte qui était plus court que d’habitude parce que nous ne faisons pas l’école de dimanche, nous avons causé avec nos frères et sœurs. L’amour fraternel était chaleureux. C’était trop court…
Bonne dimanche à tous.
Arrête-toi pour réfléchir !
Il y a quelques semaines, je lisais une infolettre que je reçois chaque matin sur les affaires dans le monde et plus précisément aux États-Unis. Le sujet en question c’était le travail à la maison et ses avantages. Un avantage cité dans cet article c’était que nous n’avons pas à perdre notre temps en voyageant au travail. Qu’en penses-tu ? Est-ce que le temps passé en trajet entre le travail et la maison est vraiment une perte de temps ?
Pour ma part, je peux dire que j’ai souvent eu de bonnes idées lors de mon voyagement au travail. Quand mon esprit est détendu et tranquille, il semble que je peux mieux réfléchir sur les activités planifiées pour la journée. Et le chemin du retour à la maison est aussi un temps pour réfléchir de la manière dont le travail s’est déroulé et de la manière que je peux améliorer. Je n’aime pas rentrer à la maison pour voir ma famille avec des soucis du travail qui pèse encore sur mes épaules. Le trajet entre le travail et la maison est un temps pour m’en débarrasser de tous ces soucis afin que je puisse rentrer à la maison avec bonheur.
Tu sais que lors du travail et ses stress, l’être humain fonctionne par l’habitude, parce que, quand le temps presse nous voulons l’accomplir de la manière la plus vite. Et la manière la plus vite est la façon qu’on a toujours faite. Ceci est bon d’une part, mais il devait aussi avoir un temps pour réfléchir sur la façon de faire.
J’avoue que il y a aussi les coûts du voyagement. L’essence, les réparations de véhicule, et quoi d’autre encore. On ne peux pas les oublier. Mais ne penses-tu pas que la culture américaine mettre trop d’emphase sur ces choses et les « heures qui compte »? Il nous faut quelque chose dans cette vie qui nous force à ne rien faire et de rester tranquille. Le trajet vers le travail est bon pour ce faire.

Simon de Cyrène
Lorsqu’ils sortirent, ils rencontrèrent un homme de Cyrène, appelé Simon, et ils le forcèrent à porter la croix de Jésus.
Mathieu 27.32
Simon a porté la croix de notre Seigneur ! « Quel honneur ! dit-on. » Oui, peut-être maintenant nous le voyons ainsi, mais sur le moment je ne crois pas que Simon a été ravi de le faire. Il revenait justement de son champ et il avait faim. Il était fatigué. « Halley’s Bible Handbook » fait la remarque qu’au ciel Simon devra être fier du rôle qu’il a joué en portant la croix de Jésus.
Ne pouvons-nous pas aussi faire ainsi ? Quelles qu’en soient les difficultés aujourd’hui, portons la croix que Jésus nous donne. Non, ce ne sera pas quelque chose d’honorable pour le royaume terrestre, mais « nous moissonnerons au temps
convenable, si nous ne nous relâchons pas. »

De retour au Canada
Nous voici encore installés dans notre bien-aimé Québec. Après un parcours de plusieurs milliers de kilomètres, nous nous sommes retrouvés dans notre milieu. Nous sommes toujours en quarantaine, mais il y a plusieurs de nos amis qui sont passés dans la rue pour nous saluer à distance. Nos frères ici ont bien préparé et stocké notre maison avec les nécessaires pour les deux semaines. C’était bon de sentir leur amour à travers les préparatifs qu’ils ont fait pour notre retour, même si nous n’étions pas capables de nous serrer les mains.

Je planifie de reprendre mon ancien travail bientôt. Je suis menuisier. Donc, je ne sais pas combien de temps je vais consacrer à écrire sur mon blogue, mais j’ai l’intention de le garder en vie et d’y écrire de temps à autre.
Relève le défi
Combien de projets as-tu commencés et qui sont, en ce moment, en train de pourrir sur les tablettes de ta maison ou de ton esprit ? Tu voulais construire une patente qui changerait le monde. Tu voulais fabriquer une table de cuisine. Tu voulais passer un weekend avec tes bien-aimés à faire du camping. Tu voulais lire Les Misérables. Tu voulais te faire un petit potager qui produirait les fruits d’été. Mais…
L’école était facile pour moi. Mémorisation ? Pas de problème. Comprendre les théories de mathématique ? Encore aucun problème. Parfois, j’avais un peu de misère à comprendre pourquoi mes camarades trouvaient les leçons si difficiles. Je n’avais pas à me forcer du côté des études.
J’ai terminé les neuf ans d’école préscrits par notre école d’église. Comme tout jeune homme, ma tête bouillonnait d’idées pour faire de l’argent et pour gagner ma vie. J’avais de grands rêves. J’avais commencé plusieurs projets qui n’avaient abouti à rien. Je regardais d’autres garçons de mon âge qui réussissaient dans leurs projets et affaires. Pourquoi est-ce que moi, qui trouvait l’apprentissage des théories si facile, j’échoue dans beaucoup ? Je ne dis pas que toute ma vie d’adolescence fut un gros échec, mais il me manquait quelque chose pour réussir.
À vingt-et-un ans, j’ai commencé à enseigner l’école dans une petite école privée gérée par notre église. Je croyais qu’enseigner serait chose facile puisque je n’ai pas eu de problème à l’école. Je n’aurais pas pu me tromper davantage. Enseigner c’est autre chose que de seulement apprendre les leçons dans un livre.
Plus tard dans la vie j’ai voulu faire un peu de programmation pour un des projets qui bouillonnaient encore dans ma tête. Mais la programmation d’ordinateurs n’est pas pour ceux qui sont faibles de cœur. C’était l’hiver, alors mon métier, la construction, était au ralenti. J’ai pris mon temps. Finalement, je me suis inscrit pour un cours en ligne. Il s’agissait d’un cours de huit heures. Cela me semblait beaucoup, mais je me disais battu avec la programmation. Donc, j’ai tout suivi. Après cela, j’avais commencé à comprendre un peu. Je pouvais au moins commencer. Mais ce n’était que le début. J’ai passé des heures devant mon ordinateur, lui plaidant d’au moins m’aider un peu et lire mes pensées. J’ai fait d’innombrables recherches en ligne afin de résoudre les problèmes que je rencontrais. C’est à travers cette expérience que la vérité commença à faire jour dans mon esprit. Ce n’est pas l’intelligence qui gagne, mais la persévérance.

Alors si cela est vrai, ça veut dire que tous mes camarades d’école qui ont beaucoup souffert pour trouver les réponses ont eu une meilleure éducation que moi. Apprendre que deux plus deux est égale à quatre est utile, bien sûr, mais apprendre à persévérer est utile pour trouver la réponse à bien d’autres questions dans la vie. Ils étaient plus prêts à affronter les défis de la vie que moi je ne l’étais avec toutes mes bonnes notes d’écoles.
J’ai encore vu sous le soleil que la course n’est point aux agiles ni la guerre aux vaillants, ni le pain aux sages, ni la richesse aux intelligents, ni la faveur aux savants ; car tout dépend pour eux du temps et des circonstances. L’homme ne connaît pas non plus son heure, pareil aux poissons qui sont pris au filet fatal, et aux oiseaux qui sont pris au piège ; comme eux, les fils de l’homme sont enlacés au temps du malheur, lorsqu’il tombe sur eux tout à coup.
Ecclésiastes 9.11-12
Ce n’est pas le fort qui gagne toujours ? Tout dépend-il du temps et des circonstances ? Cela veut dire qu’il faut continuer, persévérer, car en temps voulu ce que tu cherches va se passer. Mais il faut se forcer d’abord.
Qu’est-ce qui vous donne le succès dans vos entreprises ? Tu peux avoir toutes les connaissances du monde, mais si tu ne les appliques pas, c’est-à-dire si tu ne persévères pas, cela ne te sert de rien.
Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l’affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance.
Romains 5.3-4